Rompre le silence de l’IVG
Parler de mon IVG est une Web TV qui permet aux femmes ayant vécu un avortement de parler en toute liberté de la manière dont elles vivent aujourd’hui cet évènement.
Il est aujourd’hui très difficile pour beaucoup d’entre nous d’évoquer ce sujet avec notre entourage et notre famille tant il semble déranger.
Raconter notre histoire peut nous permettre de sortir de l’isolement et du silence et de donner de précieux conseils aux jeunes femmes qui seront confronté à une décision d’avortement.
Pourquoi ?
L’avortement est souvent une souffrance interdite.
Longtemps, on s’est dit qu’on avait un problème, qu’on réagissait de manière disproportionnée, que nous étions les seules à souffrir.
Nous avons décidé de lancer ce site afin de :
- mettre des mots sur notre souffrance et en guérir définitivement
- partager nos histoires et sortir de notre isolement
- apporter notre expérience et nos conseils aux jeunes femmes qui seront confrontées plus tard à une décision d’avortement
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Hotline & aides
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Qu’est ce que le syndrôme post-avortement ? Lucile qui a vécu une IVG nous partage ses réflexions.
Qu’est-ce que le syndrome post-avortement ? Pourquoi une femme va-t-elle si mal après un avortement, pourquoi est-elle si dépressive ? C’est ce que nous allons voir ici avec les explications suivantes qui ont été données ici avec beaucoup d’amour et d’humour par …
En donnant un nom à son enfant et en lui écrivant une lettre, Cécile a passé une étape dans le deuil.
c’est lors du parcours à AGAPA que nous, les femmes du groupe, sommes invitées à donner un prénom à notre enfant perdu. Je décide de l’appeler Jean-Baptiste et de lui écrire une lettre, comme on nous le demande dans le …
Réflexions de Lucile, 58 ans, sur les conséquence de son IVG
Je découvre le syndrome du « survivant de cet acte» : comme ceux qui ont survécu à une catastrophe (naturelle), à la guerre ou à la Shoah. Le survivant (d’avortement) se sent coupable d’exister et se demande pourquoi il est encore en …
# rompre le silence
Dire tout notre soutien aux femmes qui souffrent en silence